Au cours de cette soirée axée sur le thème du champagne, les nombreux convives présents ont pu déguster pas moins de cinq champagnes brut et un crémant de Bourgogne.
Le caractère « brut » du champagne se rapporte au dosage en sucre dans la liqueur d’expédition (moins de 15 g/litre).
Tous les champagnes proposés ont été élaborés selon la méthode traditionnelle qui consiste en un mélange de cépages (chardonnay, pinot noir, pinot, gris, pinot blanc…), de crus et de vins de réserve d'années diverses (à la différence des millésimés qui correspondent à une année unique).
A l’apéritif :
- Champagne Canard-Duchêne à 22 €/btle, gros producteur.
Lors de la dégustation à l’aveugle :
- Champagne Gaunel-Jacquet, 12,50 €/btle, petit producteur.
Les convives l’ont globalement trouvé assez vert et avec des grosses bulles, qualité inégale selon les bouteilles, note moyenne. - Champagne Mumm, 30 €/btle, gros producteur.
Appréciation hétérogène, assez acide, plusieurs l’ont confondu avec le crémant. - Crémant de Bourgogne, Domaine Amiot Guy et fils, 8, 60 €/btle, petit producteur.
Bon rapport qualité/ prix, près de la moitié des convives l’a confondu avec du champagne. - Champagne Gautherot, 14,20 €/btle, petit producteur.
Bonne appréciation dans l’ensemble, cette cuvée « grande réserve » a reçu le prix d’excellence du concours général agricole en 2010.
Pour conclure la soirée :
- Champagne Ruinart, 40 €/btle, gros producteur.
Très bonne appréciation, bulles fines et nombreuses, le meilleur de la soirée.
La maison Ruinart a été la première maison de champagne fondée en France en 1729.
Cette dégustation a été accompagnée de mets salés (le champagne s’accorde mieux avec du salé peu épicé qu’avec du sucré) tels que fromage, tomates, cakes, pizzas et tartes salées ainsi que de mets sucrés tels que gâteaux aux pommes et au citron, financiers et fruits.
Agnès.
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